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Samedi 23 novembre 2013, j’ai eu la chance d’assister à la rencontre professionnelle à l’intention des musiciens et structures de l’Allier organisée par deux associations d’Auvergne : Culture d’en Face et Le Transfo.

Le thème : le développement de l’artiste par le « Do it yourself ». C’est Steve du groupe Shaka Ponk qui intervenait pour raconter le parcours du groupe et leur expérience. Cette expérience réussie de « Do it yourself » dans tous les domaines (communication, booking, clip, etc…) est un très bon exemple de ce qu’il faut faire.

 

Mais, c’est quoi le Do it yourself ?

En français, littéralement, c’est le fait soi-même. Par exemple, les personnes qui créent eux-même leurs vêtements, leurs bijoux, c’est du « Do it yourself » amateur. Mais, il y a le « Do it yourself » professionnel comme les e-commerçants qui, pour certains, gèrent tout de A à Z (création de leur e-boutique, communication, logistique, création, fabrication,etc…), les musiciens (composition, paroles, communication, booking,..), les professions libérales, enfin, on peut pratiquer le « Do it yourself » dans beaucoup de secteurs.

Comment optimiser le « Do it yourself » ?

Le « Do it yourself » demande énormément de temps et de travail du fait du manque de compétences que la personne pourrait avoir en création de site internet , en logistique, en communication ou dans d’autres domaines. Alors comment pallier à ce manque de compétences ? Se faire aider, accompagner peut être un de ses moyens qui permet de garder la main mise sur le « faire » mais d’être plus compétent et de gagner du temps.

Soyez vous même, ne faites rien qui ne soit pas en accord avec votre philosophie de vie ou de travail, écrivez l’ADN de votre entreprise, marque ou groupe. Ca sera le départ d’un « Do it yourself » réussi.

Et vous, vous pratiquez le « Do it yourself » ? Racontez moi votre expérience !!